Remettrele couvercle sur la cocotte et faire mijoter très longtemps (presque 3 heures) l'idéal est de débuter la cuisson en cocotte vapeur et de la finir dans la cocotte en fonte classique. Vous pouvez ajoutez un poireau mixé avec le reste. Il faut un
600 grammes de boeuf - 1 tasse de jus de tomates - 3 tasses de riz - 1 piment rouge et 1 piment vert - 2 oignons - 2-3 gousses d'ail - 2 cubes de bouillon de boeuf - 1 c. à thé de paprika - Tabasco - Sel, poivre, persil - Un peu d'huile de maïs Préparation : - Faire chauffer l'huile dans une cocotte en fonte et rôtir la viande sur tous
Ajouterun filet d’huile dans la cocotte (sans la nettoyer). Y faire revenir à feu vif les légumes en mélangeant régulièrement pendant 3 à 5 minutes pour les précuire. Déposer le rôti
Rôtide bœuf « saignant » au four à 180°C Nous voulions un plat « saignant » en plus, la température à cœur était donc de 52°C en fin de repos. Le rôti de boeuf pèse 900 grammes. La température à coeur est de 20°C au moment de la coloration, environ 3 heures après la sortie du réfrigérateur.
Cuisson Faites revenir le rôti dans une cocotte en fonte sur toutes ses faces à feu vif 5 à 10 minutes. Ajoutez les ingrédients de la marinade, les lardons ainsi que 3 cuillers de farine. Déglacez avec un demi-litre de marinade. Couvrez et laissez cuire à feux doux pendant 40 minutes. Vérifiez et rectifiez l’assaisonnement si nécessaire.
Couvrezla cocotte et laissez cuire à feu doux 1 h. Le liquide doit doucement mijoter. Retournez le pain de temps en temps pour qu’il cuise uniformément et au besoin rajoutez un peu d’eau pour que le niveau reste constant. Sortez-le de la cocotte
49gsG7. Préparation Épluchez l’oignon, les gousses d’ail, les pommes de terre et les carottes. Coupez les gousses d’ail en 2 et émincez finement l’oignon. Taillez les carottes et les pommes de terre en dés. Dans une cocotte en fonte de préférence, faites fondre un peu de beurre à feu moyen ou d’huile selon votre préférence. Faites revenir 2-3 minutes l’oignon et l’ail, et réservez-les sur une assiette. Rajoutez un peu de beurre ou d’huile dans la cocotte et montez le feu. Faites revenir 2 minutes sur chaque face le rôti de bœuf. Salez et poivrez la viande. Ajoutez l’eau et le vin blanc, les légumes coupés, l’ail, l’oignon, le thym et le laurier et faites cuire le tout à feu moyen pendant 30 minutes. Au moment de servir, découpez la viande sur une planche en tranches. Enlevez la barde de gras qui entoure le rôti et la le rôti de bœuf et les légumes en cocotte, bien chauds. Astuces de chefPour choisir votre rôti, optez pour les pièces suivantes faux-filet, filet, rumsteck, tende de tranche. Le temps de cuisson est calculé en fonction de son poids et de sa un même poids, si le rôti de bœuf est long et fin, le temps de cuisson doit être plus court, s’il est court et épais, le temps de cuisson doit être rallongé.
Un rôti de boeuf sans four pour cause de panne de four. D’ailleurs ce n’est plus une panne mais un décès totale. Il m’a lâché la semaine dernière en faisant le poulet rôti du dimanche. Au bout de 3/4 d’heure dans le four le plat n’était toujours pas chaud. Drame, horreur et malédiction. Comment on fait-on sans four? D’ailleurs je ne m’y fait pas et en faisant les courses je l’oublie. D’où ce rôti de bœuf de 1,7kg pour le déjeuner. Damned, il va falloir le passer à la cocotte en fonte et essayer de ne pas se planter sur la température et la durée de la cuisson. Ingrédients 1 rôti de boeuf de 1,7kg 1 cuillère à soupe d’huile 1 demi bottes d’oignons rouges 3 gousses d’ail 1 branche de thym Mettre la cocotte à chauffer sur le feu avec la cuillère à soupe d’huile. Faire chauffer au maximum ou presque. Faire revenir le rôti sur toutes les faces. Ajouter les oignons lavées et épluchés ainsi que les gousses d’ail et la branche de thym. Couvrir et laisser cuire en baissant le feu sur mon feu qui va de 1 à 12, je l’ai mis à 6. Selon la taille de votre rôti, forcément le temps de cuisson va changer. En général on compte 1/2 heure par kilos. Du coup j’ai compté 3/4 d’heures. C’était un chouïlla de trop. Il était encore rosé mais pas rouge à l’intérieur. Par contre à la différence du rôti au four j’ai pu déglacer les jus et cela a fait une belle sauce pour accompagner avec sa purée de pommes de terre. Et vous, vous le faites comment votre rôti ? Et surtout vous fates comment sans four ? Je suis preneuse de recettes! PS maintenant je n’ai plus qu’à croiser les doigts pour que les plaques ne me lâchent pas sachant que mon four est en fait une cuisinière…. Et à me trouver une nouvelle cuisinière ou bien four + plaques PS 2 J’ai presque l’impression que Ptit’Bob est plus embêté que moi par l’absence de four vu la tête qu’il a fait quand je lui ai annoncé la nouvelle. Et mes gâteaux alors? » a-til exclamé!
J'ai reçu de la part de Cookut, une cocotte en fonte personnalisable que j'adore. Je l'ai donc testé pour la première fois ce week-end avec une première idée de repas pour les fêtes à vous partager . Je ne fais que rarement du rôti, n'étant pas une grosse mangeuse de viande, j'ai voulu faire honneur à ma région en réalisant une sauce à la bière de Noël pour l'accompagner. Une sauce largement inspirée de notre carbonnade flamande connue de tous WW Vert ou Smartpoints 24SP pour la totalité soit 6SP par personne WW Bleu ou WW Liberté 24SPL pour la totalité soit 6SPL par personne WW Violet 24SPV pour la totalité soit 6SPV par personne Calories 1224Kcal pour la totalité soit 306Kcal par personne Photos, textes non libres de droit © Ingrédients pour 4 personnes Pour le rôti 1cc d'huile d'olive 2 échalotes 100g 1 rôti de boeuf dans le filet 500g 100ml d'eau 1 bouquet garni sel, poivre Pour la sauce à la bière de Noël 10g de beurre 1 échalote 50g 1cc de vergeoise brune ou blonde 200ml de bière de Noël 3 tranches de pain d'épices bjorg pour moi 35g 3 cc de moutarde à l'ancienne 15g 1 cc de fond de veau Préparation Commencer par cuire votre rôti, pour moi en cocotte dans ma cocotte cookut , au cas où vous ne liriez pas mes intros 😅 Faire revenir vos échalotes émincées dans l'huile d'olive. Y déposer votre rôti et faire dorer de chaque côté, arroser d'eau, ajouter le bouquet garni, saler, poivrer. Couvrir et cuire 15 minutes à feu doux/moyen. Pendant ce temps, préparer votre sauce, faire revenir votre échalote émincée dans du beurre fondu, ajouter la vergeoise et faire caraméliser. Déglacer à la bière. Tartiner les tranches de pain d'épices de moutarde à l'ancienne. Les déposer sur le dessus. Couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant 5 minutes avant de remuer. Prolonger la cuisson de 5 min en surveillant et en remuant. La sauce doit s'épaissir mais pas trop Suggestion Servir votre rôti accompagné de sa sauce et de pommes duchesse au potimarron la recette arrive semaine prochaine. Photos, textes non libres de droit ©
Si la cuisine d’hiver avait une odeur, ce serait celle d’un pot-au-feu mijoté longuement. Quoi de plus réconfortant qu’un bouillon fumant, avec des morceaux de viande qui se détachent à la fourchette ? Pour que nous nous régalions pendant les mois plus froids, Christina Blais nous dévoile les secrets du braisé parfait. Qu'est-ce qu'un braisé ? Le braisage est la technique qu’on utilise pour attendrir les coupes de viande coriaces, comme celles qui proviennent des régions de l’épaule, du jarret et de la poitrine. Le principe est simple on cuit une viande agneau, bœuf, porc, veau en milieu clos, dans un peu de liquide bouillon, vin, eau après l’avoir bien fait brunir dans un peu de gras, jusqu’à ce qu’elle soit très tendre et s’effiloche à la fourchette. Si le mot braiser » fait penser à de la braise, c’est qu’il tire son origine de l’époque où l’on cuisait le plat sur celle-ci. On en plaçait même sur le couvercle, afin que la préparation cuise des deux côtés en même temps. Aujourd’hui, même si la braise a disparu de nos cuisines, le mot braiser » fait toujours partie de notre vocabulaire, bien qu’on utilise aussi le terme mijoter », moins précis, qui renvoie à n’importe quelle recette liquide qui cuit doucement à petit feu. Pourquoi la viande s’attendrit-elle à la cuisson ? C’est à cause du collagène, un tissu très élastique présent dans tous les muscles, en quantité plus ou moins importante. Un peu à la manière d’une gaine, il entoure les fibres musculaires de la viande pour les maintenir ensemble. Plus un muscle est exercé, plus il a besoin de collagène pour l’aider à mieux faire son travail. Lors de la cuisson, la chaleur dégrade le collagène, qui se transforme en gélatine. C’est un peu comme si on prenait des ciseaux et qu’on coupait les élastiques en mille petits morceaux. Par conséquent, les fibres musculaires se détachent les unes des autres, et la viande se défait, comme par magie. La gélatine nouvellement formée enrichit le liquide de cuisson et donne une texture moelleuse en bouche. Une cuisson, trois vitesses Le temps nécessaire pour attendrir la viande dépend de la température du milieu de cuisson. Plus elle est élevée, moins on aura besoin de temps pour dégrader le collagène en gélatine. Par contre, la vitesse a un prix la jutosité de la viande. Car plus la chaleur est élevée, plus elle perdra de son jus. Selon la méthode de cuisson qu’on choisit, on peut avoir un pot-au-feu prêt à servir à nos invités en 30 minutes, en 3 heures ou en 8 heures. › Option 30 minutes Le cuiseur sous pression Dans un autocuiseur de type Presto, la température du bouillon peut atteindre jusqu’à 120 °C 248 °F, soit plusieurs degrés au-dessus de la température normale d’ébullition. Résultat le collagène se transforme très rapidement en gélatine. Le temps de cuisson varie selon la grosseur des pièces de viande. On peut attendrir des cubes à ragoût en 15 minutes seulement génial pour un souper vite fait ! ou un rôti pour un pot-au-feu en moins de 45 minutes. Cette technique a l’avantage d’être la plus rapide, mais donne une viande plus sèche, puisqu’elle perd davantage de son jus. › Option 3 heures La cocotte au four ou sur le feu La température dans un faitout qui mijote, à couvert, au four ou sur le feu, oscille idéalement entre 85 °C 185 °F et 90 °C 195 °F.On aura alors besoin de 2 à 3 heures pour attendrir la viande, selon la grosseur des pièces. Pour une viande juteuse, on doit éviter l’ébullition en réglant le feu de la cuisinière à son plus bas niveau, ou on cuit au four entre 135 °C 275 °F et 150 °C 300 °F. Certains ne jurent que par une cuisson dans un four à 95 °C 200 °F. Le résultat est excellent, mais on doit être patient, car on aura besoin du double de temps de cuisson. On prend bien soin de choisir une cocotte avec un couvercle qui ferme bien, pour éviter de perdre trop de liquide par évaporation. L’idéal, c’est une cocotte en fonte émaillée, car elle retient bien la chaleur et la répartit de manière uniforme. › Option 6-8 heures La mijoteuse La mijoteuse est la technique la plus pratique, car elle se fait presque sans surveillance. Et surtout, elle donne une viande succulente à tout coup. Pourquoi ? La température du bouillon dans une mijoteuse dépasse rarement 75 °C 170 °F à 80 °C 175 °F. Grâce à la chaleur très douce, la viande retient davantage de jus qu’avec les autres méthodes et est moins sèche en bouche. Selon la grosseur de la coupe, on doit calculer jusqu’à 8 heures de cuisson pour attendrir la viande. LES BONNES COUPES de boeuf À BRAISER rechercher la mention à mijoter » ou pour pot-au-feu » inscrite directement sur l’étiquette, sous le nom de la coupe. Sinon, on peut choisir parmi les coupes suivantes, souvent bon marché › Bifteck ou rôti d’épaule › Bifteck ou rôti de côtes croisées › Bifteck ou rôti de palette, de haut de palette ou de bas de palette › Cubes à ragoût et non pas à fondue bourguignonne › Rôti de pointe de poitrine Des astuces pour réussir son braisé 1/ Brunir les pièces de viande avant d’ajouter le liquide Le brunissement se produit à la suite de réactions chimiques entre les sucres naturellement présents dans la viande et les protéines. C’est ce qu’on appelle la réaction de Maillard. Grâce à cette coloration, on obtient une sauce de couleur plus riche, et bien goûteuse. On brunit les cubes par lots, pour éviter de surcharger le fond de la cocotte et faire bouillir plutôt que rôtir. 2/ Jauger le liquide Quand on ajoute trop de liquide, on dilue la saveur de notre braisé, et on obtient une sauce qui manque de corps et de goût. On évite donc de noyer la viande, surtout parce qu’on sait qu’elle perd environ le tiers de son poids en jus pendant la cuisson, et que ce jus vient s’ajouter au jus de cuissonv. On ajoute assez de liquide pour arriver à la moitié de la hauteur de la viande, pas plus. 3/ Vérifier la cuisson Quel que soit le mode de cuisson, le braisé est prêt lorsqu’on peut défaire la viande facilement avec une fourchette, qu’elle ne résiste pas. C’est signe que le collagène s’est transformé en gélatine et que les fibres ne sont plus liées entre elles. On vérifie la cuisson souvent, à compter du début de la plage du temps de cuisson précisée dans la recette. La viande est encore coriace ? Pas de problème, on poursuit simplement la cuisson. Elle est tendre ? On retire du feu pour éviter de trop la cuire et de l’assécher. 4/ Servir la viande dans sa sauce Les viandes braisées perdent beaucoup d’eau pendant la cuisson et ont tendance à s’assécher si elles sont exposées à l’air. Pour contourner ce problème, on les laisse baigner dans leur jus de cuisson, autant au moment de servir que pendant leur conservation, au froid. D’ailleurs, les braisés sont souvent meilleurs le lendemain, car la viande réabsorbe un peu du jus de cuisson durant l’entreposage.
roti de boeuf à la cocotte en fonte