BenjaminGates et le trĂ©sor des templiers. AllocinĂ© Presse. AllocinĂ© Spectateur. TĂ©lĂ©rama. TĂ©lĂ©cĂąble Sat. Film Aventure, États-Unis d'AmĂ©rique, 2004, 2h11 . Voir la bande annonce. Perdudepuis plus de 200 ans, le trĂ©sor des Chevaliers du Temple fait partie de ces mythiques lĂ©gendes. Ben Gates, archĂ©ologue et aventurier, se lance Ă  la recherche de ce trĂ©sor qui a hantĂ© les pensĂ©es de sa famille et de ses descendants depuis des gĂ©nĂ©rations. Mais il n’est pas le seul intĂ©ressĂ©. Gates et son meilleur ami Riley BenjaminGates et le trĂ©sor des templiers: dĂ©couvrez toutes les vidĂ©os avec TĂ©lĂ©-Loisirs. Aller au contenu. Menu. TĂ©lĂ©-Loisirs. Avatar . Me connecter. Mon compte Mes programmes Mes alertes RegardezBenjamin Gates et le trĂ©sor des templiers en ligne maintenant. Le film Benjamin Gates et le trĂ©sor des templiers est actuellement disponible sur Disney+, Google Play, Apple TV. Dans la famille Gates, une lĂ©gende voudrait qu'un des ancĂȘtres ait cachĂ© un mystĂ©rieux trĂ©sor ayant un Ă©troit lien avec la DĂ©claration d'IndĂ©pendance amĂ©ricaine. Synopsis: Perdu depuis plus de 200 ans, le trĂ©sor des Chevaliers du Templier fait partie de ces mythiques lĂ©gendes. Ben Gates, archĂ©ologue et aventurier, se lance Ă  la recherche de ce trĂ©sor qui a hantĂ© les pensĂ©es de sa famille et de ses Un film de Jon Turteltaub avec Nicolas Cage et Diane Kruger. Synopsis : Perdu depuis plus de 200 ans, le trĂ©sor des Lesmeilleures offres pour CARTE FICHE CINEMA 2004 BENJAMIN GATES ET LE TRESOR DES TEMPLIERS Nicolas Cage D sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en livraison gratuite! OA0l6. Titre Original National Treasure De Jon Turteltaub Avec Nicolas Cage, Diane Kruger, Justin Bartha, Sean Bean AnnĂ©e 2004 Pays Etats-Unis Genre Aventure RĂ©sumĂ© Perdu depuis plus de 200 ans, le trĂ©sor des Chevaliers du Templier fait partie de ces mythiques lĂ©gendes. Ben Gates, archĂ©ologue et aventurier, se lance Ă  la recherche de ce trĂ©sor qui a hantĂ© les pensĂ©es de sa famille et de ses descendants depuis des gĂ©nĂ©rations. Mais il n’est pas le seul et son meilleur ami Riley Poole, expert en informatique, partent en exploration sur le continent Arctique et dĂ©couvrent que le premier indice menant au trĂ©sor est cachĂ© dans le document le mieux gardĂ© au monde, la DĂ©claration d’ une course contre le temps, ils doivent voler le document si prĂ©cieux, dĂ©coder la carte cachĂ©e, semer le FBI, et Ă©viter d’ĂȘtre tuĂ©s par Ian Howe, un riche aventurier anglais. Et ce n’est que la premiĂšre Ă©tape de cette chasse au trĂ©sor. Avis Jon Turteltaub est un rĂ©alisateur amĂ©ricain dont j’aime bien le cinĂ©ma. Ce que j’aime bien avec Jon Turteltaub, c’est qu’il ne vise pas autre chose que de divertir son public. Alors bien sĂ»r, il y a des divertissements qui sont meilleurs que d’autres, mais dans l’ensemble, avec des films comme Rasta Rocket , Instinct , PhĂ©nomĂšne » ou plus derniĂšrement, En eaux troubles » et son Jason Statham qui se fighte contre un mĂ©galodon, la carriĂšre du rĂ©alisateur est amusante. Alors qu’il avait rĂ©alisĂ© quatre ans auparavant la petite comĂ©die sale mĂŽme » avec Bruce Willis, pour cette fin d’annĂ©e 2004, Jon Turteltaub revenait avec un film d’aventures qui rappelle Ă©normĂ©ment un Indiana Jones » des temps modernes. Sans atteindre non plus la maestria de Spielberg, avec son Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers , Jon Turteltaub livre-lĂ  un divertissement de bonne facture. Un divertissement qui conjugue habilement aventures, Ă©nigmes, rebondissements, action, bonnes idĂ©es et Nicolas Cage en plein forme. Bref, ce Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers » se regarde avec plaisir. Le trĂ©sor des Templiers est souvent considĂ©rĂ© comme le plus immense des trĂ©sors. Un trĂ©sor tellement grand qu’il ne peut ĂȘtre possĂ©dĂ© par un seul homme. Le trĂ©sor des templiers, c’est surtout une lĂ©gende et un mythe pour tout le monde. Enfin, pour tout le monde, sauf pour Benjamin Gates, qui depuis que son grand-pĂšre lui en a parlĂ© quand il Ă©tait petit, est restĂ© persuadĂ© que le trĂ©sor existe. D’allant d’indices en indices, allant plus loin que personne n’a jamais Ă©tĂ©, le chasseur de trĂ©sor se rend compte alors qu’il lui faut dĂ©sormais voler la dĂ©claration d’indĂ©pendance des Etats-Unis d’AmĂ©rique pour premiĂšrement la protĂ©ger d’un vol et deuxiĂšmement, car cette derniĂšre pourrait contenir Ă  son dos un nouvel indice qui l’amĂšnerait au mythique trĂ©sor. NeuviĂšme film pour Jon Turteltaub qui toujours pour Disney, se lance ici dans le film d’aventures. DotĂ© d’une bonne idĂ©e et d’un univers agrĂ©able, le rĂ©alisateur amĂ©ricain nous entraĂźne dans un bon petit divertissement. Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers , c’est le genre de mĂ©trage qui se laisse regarder avec plaisir. Alors certes, tout n’est pas parfait non plus et entre facilitĂ© scĂ©naristique, gros sabots parfois et un manque de suspens, ce Benjamin Gates 
 » aurait mĂ©ritĂ© plus d’écriture et de subtilitĂ©, mais il demeure un bon film qui ne prĂ©tend pas vendre autre chose que le divertissement qui nous est proposĂ©. Comme je le disais, Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers , c’est une sorte d’ »Indiana Jones » des temps modernes et l’on sent directement l’influence de l’aventurier de Spielberg ici. Heureusement pour nous, le film de Jon Turteltaub ne s’arrĂȘte pas Ă  ses influences, et nous offre plus que cela. Partant d’une bonne idĂ©e, Jon Turteltaub livre une bonne aventure qui multiplie les rebondissements, les scĂšnes d’action parfois spectaculaires, et surtout, au-delĂ  de ça, ce qui est amusant avec ce film, c’est l’idĂ©e d’entremĂȘler vĂ©ritĂ© historique et fiction. Le film conjugue pas mal d’élĂ©ments historiques ou du quotidien, pour les amener dans la quĂȘte de ses personnages et si parfois c’est assez grossier, pour ne pas dire complĂ©tement tirĂ© par les cheveux, en plus d’ĂȘtre caricatural dans l’écriture de certains de ses personnages on a bien du mal Ă  croire d’ailleurs que les mecs ont Ă©tĂ© neuf Ă  plancher sur le scĂ©nario de ce film, sur l’ensemble, le film fonctionne plutĂŽt bien et surtout il donne quelque chose d’amusant et de plaisant Ă  suivre. Oui, au final, on se laisse prendre au jeu de cette chasse au trĂ©sor, et mĂȘme dans un sens, Benjamin Gates 
 » rĂ©veille le petit aventurier qui sommeille en nous. Jon Turteltaub n’est pas un grand rĂ©alisateur, mais il reste un bon artisan de cinĂ©ma et Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers » le prouve encore une fois. RythmĂ©, tenu, ayant un bon sens du divertissement, Jon Turteltaub nous entraĂźne dans une aventure qui pique toujours notre envie d’aller plus loin, et ça, mĂȘme si le tout reste assez prĂ©visible. Benjamin Gates 
 », c’est dans un sens le petit divertissement familial qu’on aime beaucoup. Un petit divertissement qui est honnĂȘte et qui n’essaie pas de faire plus que ce qu’on lui demande. On apprĂ©ciera l’univers, on apprĂ©ciera la quĂȘte, et finalement, mĂȘme si le film de Jon Turteltaub ne sera jamais aussi marquant qu’un Indiana Jones , entre ses idĂ©es d’intrigue comme voler la dĂ©claration d’indĂ©pendance, ses scĂšnes d’aventure, ses dĂ©couvertes de chasse au trĂ©sor et bien entendu ses personnages, Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers » fait un peu plus que s’imposer. Et quand on parle de personnage, on ne peut manquer Nicolas Cage qui est excellent dans le rĂŽle de Ben Gates. L’acteur, encore au top Ă  l’époque, compose un aventurier qu’on a envie de suivre Ă  tout instant. Il est cool, il est drĂŽle, il est un poil caricatural, mais surtout, il est trĂšs attachant, tout comme son Ă©quipe, composĂ©e de Diane Kruger et Justin Bartha. On trouvera aussi ici Sean Bean en mĂ©chant, mais pas trop, ou encore Jon Voight dans la peau du pĂšre de Gates et Harvey Keitel en flic tenace. Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers » est donc un bon divertissement qui a le mĂ©rite de nous offrir ce qu’on est venu chercher. Aventures, action, rythme, chasse au trĂ©sor, histoire, Ă©nigmes, allant d’une ville Ă  l’autre, et bien sĂ»r, le tout emmenĂ© par un Nicolas Cage excellent. Certes, ce n’est pas fin et c’est assez prĂ©visible, mais l’aventure, les idĂ©es et surtout le plaisir est lĂ . Bref, ce Benjamin Gates 
 », entre qualitĂ©s et dĂ©fauts conjuguĂ©s, donne un bon petit film. Note 14/20 Par CinĂ©ted AccueilBiiingeUn spin-off de la franchise, centrĂ© cette fois sur une aventuriĂšre, est en dĂ©veloppement sur Disney+.Il Ă©tait l’Indiana Jones et le Lara Croft des annĂ©es 2000, le lasso et les flingues en moins. Benjamin Gates, la franchise de Disney qui a eu le droit Ă  deux films entre 2004 et 2007, va revenir sous la forme d’une sĂ©rie pour la plateforme de streaming du gĂ©ant amĂ©ricain. AprĂšs l’annulation du troisiĂšme volet, la firme de Mickey cherchait depuis plusieurs annĂ©es un moyen de relancer la saga avec ou sans la prĂ©sence de Nicolas Cage, son interprĂšte principal. C’est dĂ©sormais chose faite puisque, selon Deadline, la sĂ©rie introduira non pas un mais une nouvelle chasseuse de trĂ©sors et son groupe d’amis cette nouvelle version de Benjamin Gates, nous ferons la rencontre de Jess Morales, une jeune femme dĂ©crite comme d’origine hispanique et rĂȘveuse, qui se lance dans une quĂȘte trĂ©pidante pour retrouver les richesses et autres artefacts oubliĂ©s de notre civilisation. La sĂ©rie explorera des thĂšmes comme la recherche d’identitĂ©, la vie en communautĂ© et le patriotisme, qui s’inscrivent dans la lignĂ©e des films prĂ©cĂ©dents. Selon le producteur Jerry Bruckheimer, le show proposera un cast beaucoup plus jeune et diversifiĂ© que celui des Benjamin Gates Ă©crire ce spin-off, Disney a de nouveau fait appel au couple de scĂ©naristes Marianne et Cormac Wibberley, qui Ă©taient dĂ©jĂ  Ă  l’origine de Benjamin Gates et le TrĂ©sor des Templiers et Benjamin Gates et le Livre des secrets. La premiĂšre saison de dix Ă©pisodes commandĂ©e par Disney+ sera rĂ©alisĂ©e par Mira Nair Le Mariage des moussons.En parallĂšle, les studios amĂ©ricains ont confirmĂ© la mise en chantier d’un troisiĂšme film, quatorze ans aprĂšs la sortie en salles du prĂ©cĂ©dent opus. Il pourra compter sur les retours confirmĂ©s de Nicolas Cage, Diane Kruger, Justin Bartha, Armando Riesco et Jon Voight dans les rĂŽles principaux. Jon Turteltaub, le rĂ©alisateur des deux premiers Benjamin Gates, sera Ă©galement de la partie tandis que l’écriture du scĂ©nario a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  Chris Bremner Bad Boys for Life.Les deux films de la franchise Benjamin Gates sont disponibles sur Disney+.À voir aussi sur Konbini Benjamin Gates et le TrĂ©sor des Templiers News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,1 26902 notes dont 736 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Perdu depuis plus de 200 ans, le trĂ©sor des Chevaliers du Templier fait partie de ces mythiques lĂ©gendes. Ben Gates, archĂ©ologue et aventurier, se lance Ă  la recherche de ce trĂ©sor qui a hantĂ© les pensĂ©es de sa famille et de ses descendants depuis des gĂ©nĂ©rations. Mais il n'est pas le seul et son meilleur ami Riley Poole, expert en informatique, partent en exploration sur le continent Arctique et dĂ©couvrent que le premier indice menant au trĂ©sor est cachĂ© dans le document le mieux gardĂ© au monde, la DĂ©claration d' une course contre le temps, ils doivent voler le document si prĂ©cieux, dĂ©coder la carte cachĂ©e, semer le FBI, et Ă©viter d'ĂȘtre tuĂ©s par Ian Howe, un riche aventurier anglais. Et ce n'est que la premiĂšre Ă©tape de cette chasse au trĂ©sor. Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Disney+Abonnement Voir toutes les offres de streaming Acheter ou louer sur CANAL VOD VIVA Achat dĂšs 11,99 € HD Orange Location dĂšs 2,99 € Canal VOD Location dĂšs 2,99 € PremiereMax Achat dĂšs 11,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposĂ© par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 104 121 Interviews, making-of et extraits 6 vidĂ©os DerniĂšres news 26 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et Ă©quipe technique Critiques Presse Le Figaroscope Studio Magazine CinĂ© Live Ouest France TĂ©lĂ©CinĂ©Obs TĂ©lĂ©rama Chronic' Les Inrockuptibles Mad Movies Zurban Chaque magazine ou journal ayant son propre systĂšme de notation, toutes les notes attribuĂ©es sont remises au barĂȘme de AlloCinĂ©, de 1 Ă  5 Ă©toiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 11 articles de presse Critiques Spectateurs Un dĂ©fi informel rĂ©aliser un nouvel Indiana Jones. Jon Turteltaub rĂ©ussit plutĂŽt bien. Son film est rythmĂ© et la narration entraĂźnante. Certes les personnages ne sont pas dĂ©veloppĂ©s, mais Nicolas Cage est prenant et fait une paire effficace avec Sean Bean. Le trĂ©sor des templiers s'apparente Ă  un long mĂ©trage riche en action, Ă  dĂ©faut de donner des pistes de rĂ©flexion. Il n'est pas une grande oeuvre d'art. Juste un divertissement ... Lire plus Une bonne petite rĂ©alisation, qui n'apporte rien d'extraordinaire, mais qui constitue un agrĂ©able divertissement. De sympathiques dĂ©cors, du rythme, des rebondissements. Un film d'aventure sans prĂ©tention. TrĂšs brouillon au dĂ©part et donnant facilement dans le grand spectacle hollywoodien, on avait tout Ă  craindre de ce "Benjamin Gates". Et bien que neni, assez rapidement le film trouve ses marques et c'est un rĂ©gal. Il s'avĂšre ĂȘtre un divertissement honnĂȘte qui ne manque pas de charme, Ă  mi chemin entre un "Indiana Jones" et un "Mission Impossible". Bref un film Ă©nergique trĂšs efficace. A voir. Benjamin Gates et le TrĂ©sor des Templiers moi j’appelle sa du grand divertissement a l’état pur, vraiment ce film est une pure merveille et a tout pour plaire une chasse aux trĂ©sors des plus passionnante et captivant remplit de suspense et de rebondissement, d'action pour rythmĂ© cette grand aventure qui nous laisse aucun moments de rĂ©pit et nous fait voyagĂ© a compagnie de l'excellente Ă©quipe de Benjamin Gates qui sont vraiment ... Lire plus 736 Critiques Spectateurs Photos 46 Photos Secrets de tournage Cage / Bruckheimer quatriĂšme ! Nicolas Cage retrouve pour la quatriĂšme fois le producteur Jerry Bruckheimer. L'acteur avait interprĂ©tĂ© l'agent Stanley Goodspeed dans Rock; le dĂ©tenu rebelle Cameron Poe embarquĂ© dans Les Ailes de l'enfer, et un braqueur de voitures de luxe dans 60 secondes chrono, tous trois produit par Bruckheimer. TroisiĂšme production hollywoodienne pour Diane Kruger En jouant dans Benjamin Gates et le trĂ©sor des Templiers, l'actrice allemande Diane Kruger continue sa percĂ©e hollywoodienne, entamĂ©e avec Troie et Wicker Park. GenĂšse d'un projet L'idĂ©e originale du film est due Ă  Oren Aviv, par ailleurs prĂ©sident de Buena Vista Pictures Marketing, ainsi qu'Ă  son associĂ©, Charles Segars. Ils ont imaginĂ© le concept d'un homme forcĂ© de voler la DĂ©claration d'IndĂ©pendance parce qu'elle serait en danger, et qu'elle recĂšlerait une carte menant Ă  un trĂ©sor secret. Oren Aviv explique "Nous nous sommes dit que ce serait le hold-up le plus osĂ© jamais tentĂ©, et qu'il pourrait ĂȘtre le fondemen Lire plus 12 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ© Distributeur Buena Vista International AnnĂ©e de production 2004 Date de sortie DVD 22/06/2005 Date de sortie Blu-ray 28/05/2008 Date de sortie VOD 31/12/2014 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 12 anecdotes Box Office France 1 451 912 entrĂ©es Budget 100 000 000 $ Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 111225 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires Benjamin Gates et le Livre des Secrets 13 February 2008 13K membres Une nouvelle quĂȘte l'attend. Lorsque rĂ©apparaĂźt une page manquante du journal de John Wilkes Booth, l'assassin d'Abraham Lincoln, tout indique que l'arriĂšre-arriĂšre-grand-pĂšre de Ben a jouĂ© un rĂŽle clĂ© dans la conspiration qui a conduit au meurtre de l'ancien PrĂ©sident amĂ©ricain. DĂ©terminĂ© Ă  prouver l'innocence de son ancĂȘtre, Ben remonte la piste tracĂ©e par une sĂ©rie d'indices, qui va le mener Ă  Paris et Ă  Londres avant de le ramener aux États-Unis. Ce pĂ©riple, marquĂ© par de surprenantes rĂ©vĂ©lations, le conduira vers les secrets les mieux gardĂ©s de notre monde. En 1314, il n’y avait pas de tĂ©lĂ©vision. Quel ennui ! Imaginez vous une Ă©poque sans Navarro ou rediffusion des BronzĂ©s font du ski ? Un siĂšcle sans Les 100 plus grands moments de vidĂ©o gags ? Tenez-vous bien il n’y avait mĂȘme pas de journal de 13 heures pour qu’un sire Jean-Pierre de la PernautiĂšre nous propose divers reportages sur tous ces sarrasins qui, non content d’occuper nos chĂąteaux payĂ©s aux frais du petit contribuable en terre sainte, ne respectent mĂȘme pas nos traditions les plus Ă©lĂ©mentaires comme l’utilisation des chiffres romains ! Ah, quelle bien triste Ă©poque. Le royaume de France Ă©tait en plein marasme, et les croisades, ancĂȘtres primitifs dIntervilles, n’attiraient guĂšre plus d’attention. Heureusement, Philippe le Bel, roi de France, eut une idĂ©e de gĂ©nie pour redonner un peu de couleurs Ă  nos contrĂ©es rongĂ©es par le dĂ©sƓuvrement l’organisation d’une soirĂ©e festive populaire, avec force attractions plus formidables les unes que les autres, et en clou du spectacle, un fameux bĂ»cher. Ça tombait plutĂŽt bien, puisque Philippe avait dans ses prisons un certain Jacques de Molay, grand maĂźtre de l’Ordre du Temple, dont le groupuscule avait Ă©tĂ© accusĂ© d’avoir reniĂ© le Seigneur en participant Ă  d’immenses orgies sodomites de Paris Ă  JĂ©rusalem ; il est vrai qu’à se promener en cottes de mailles – une sorte de bas-rĂ©sille mĂ©tallique – et tabard colorĂ© toute la journĂ©e et ce uniquement entre hommes, le doute allait vite se propager dans tout le royaume. Tant et si bien qu’il s’inscrirait dans l’histoire, la Maison du Temple de Paris Ă©tant situĂ©e Ă  l’emplacement de l’actuel quartier du Marais, devenu un vĂ©ritable lieu de pĂšlerinage pour les gays de tous poils comme chacun sait. Ce soir de mars 1314, Jacques fut donc amenĂ© sur un tas de bois, oĂč il fut mis face Ă  ses accusateurs ; grand prince, le roi lui proposa de s’exprimer une derniĂšre fois, ce que le vieux maĂźtre fit avec brio Pape ClĂ©ment, chevalier Guillaume de Nogaret, roi Philippe, avant un an je vous cite Ă  comparaĂźtre au tribunal de Dieu. Maudits ! Maudits ! Vous serez tous maudits, jusqu’à la treiziĂšme gĂ©nĂ©ration de vos races ! » ; le roi s’empressa donc de lui rĂ©pondre et moi, je te condamne, Jacques de Molay, Ă  comparaĂźtre dans les 15 minutes devant Dieu, et ce Ă  thermostat 8 . S’ensuivirent flammes immenses, cris immondes et viande brĂ»lĂ©e ainsi naquit l’ancĂȘtre de la FĂȘte de l’HumanitĂ©. Un seul secret ne fut pas levĂ© qu’advint il de la mirobolante fortune accumulĂ©e par l’Ordre des Templiers du jour de leur crĂ©ation jusqu’à celui de leur arrestation ? VoilĂ  une lĂ©gende qui inspira de bien beaux auteurs de films, puisque vous n’ĂȘtes pas sans savoir que l’an prochain est prĂ©vu le troisiĂšme volet de la sĂ©rie des Benjamin Gates , sorte de super-aventurier-historien-archĂ©ologue façon Indiana Jones. Ensemble, dĂ©couvrons le premier Ă©pisode de cette fabuleuse trilogie enfin, s’ils s’en arrĂȘtent Ă  trois, et spoilons le sauvagement et sans vergogne. L'affiche avec Nicolas Cage, si l'aventure a un nouveau visage, elle n'a toujours aucune expression faciale. Car tout commence 660 ans aprĂšs les Ă©vĂšnements que je viens de vous conter, en 1974 Ă  Washington, Benjamin Gates, jeune freluquet aventureux, profite d’une nuit d’orage pour se rendre dans le grenier de la maison familiale ; Ă©quipĂ© d’une lampe torche, il balaie de son faisceau lumineux les piles de vieux objets empilĂ©s, uniquement interrompu de temps Ă  autres par le choc sourd de la foudre tombant non loin. AprĂšs quelques hĂ©sitations, notre hĂ©ros semble dĂ©couvrir ce qu’il Ă©tait venu discrĂštement chercher la pile des vieux magazines pornos de son grand-pĂšre. HĂ©las, le dit propriĂ©taire des revues prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ©es surgit derriĂšre lui, s’en empare, et marmonne un Hmmm, tu es assez grand pour ça, maintenant ; viens, je vais tout te dire. » Chouette ! » se dit Benjamin ; Grand-PĂšre va enfin m’expliquer ce qu’il appelle la Toupie Javanaise ! , mais non, en fait, papy a dĂ» mal comprendre ou bien moi, car il montre l’ouvrage que Benjamin avait tentĂ© de prendre et qui est en fait un vieux livre sur la famille Gates, et entreprend de raconter Ă  l’enfant le secret familial. En 1832, un ancĂȘtre de la famille Gates, cocher de son Ă©tat, conduit Ă  toute allure son attelage dans les rues de Washington ; Ă  bord de celui-ci, son vieux maĂźtre, dernier signataire de la dĂ©claration d’indĂ©pendance de 1776 encore en vie, est mourant et souhaite rĂ©vĂ©ler un secret au prĂ©sident des Etats-Unis avant de s’éteindre. HĂ©las, le prĂ©sident n’est pas lĂ . Que faire, se dit notre futur macchabĂ©e ? Bon, si je ne peux pas rĂ©vĂ©ler le secret au prĂ©sident, je vais le rĂ©vĂ©ler Ă  mon cocher, car c’est le numĂ©ro 2 sur la liste des gens importants Ă  qui rĂ©vĂ©ler un secret d’importance mondiale oui, papy devait sucrer les fraises, car entre le prĂ©sident et un pauvre prolo, il y aurait quelques Ă©chelons intermĂ©diaires. Si son cocher Ă©tait parti uriner, nul doute qu’il eut rĂ©vĂ©lĂ© sa lourde confidence Ă  un clochard ivre passant par lĂ . Et, quel est donc ce secret ? Non, parce que je vous sens intriguĂ© mes bons lecteurs, et je vous comprends. Au travers des siĂšcles, un trĂ©sor est passĂ© de mains en mains grecs, Ă©gyptiens, romains
 tous les pillages du monde accumulĂ©s en un seul butin et perdu durant des siĂšcles avant de rĂ©apparaĂźtre au moyen-Ăąge, lorsque quelques chevaliers en croisade trouvĂšrent le pactole sous le temple de Salomon ; et plutĂŽt que de claquer tout cet or en schnouf et filles faciles, ils dĂ©cidĂšrent qu' »un seul homme ne pouvait pas possĂ©der autant d’or . Aussi, ils jurĂšrent de protĂ©ger le trĂ©sor et prirent le nom de templiers historiens, fuyez, fous que vous ĂȘtes ! ; par la suite, ils devinrent les francs-maçons comme ça, pif-pouf, parce que l’ancien nom ne les faisait plus marrer, probablement et dĂ©cidĂšrent d’évacuer le trĂ©sor loin de l’Europe oĂč il n’était plus en sĂ©curitĂ©. Aussi le firent ils conduire vers le Nouveau Monde dans le plus grand secret ; hĂ©las, la guerre d’indĂ©pendance eut lieu,et il fallu le cacher des britanniques en goguette qui auraient bien voulu s’en emparer pour se payer du pudding Ă  foison
 en consĂ©quence de quoi les franc-maçons le mirent en lieu sĂ»r, et ne laissĂšrent que de complexes indices ici ou lĂ  pour que retrouver le trĂ©sor ne soit pas une partie de plaisir. Et un soir de 1832, un franc-maçon confia donc ce secret Ă  un pauvre cocher, lui donnant un bout de papier sur lequel Ă©tait inscrit le seul indice en sa possession pour retrouver le trĂ©sor Le secret repose avec Charlotte . Charlotte, la premiĂšre piste de Benjamin VoilĂ . Bon, Benjamin est fascinĂ© par cette histoire ; c’est dommage qu’il ne dise pas Papy, ils sont trop cons en fait les francs-templiers ou templiers-maçons s’ils voulaient juste que le trĂ©sor ne finisse pas entre les mains d’un seul homme, pourquoi n’en ont ils pas juste fait bĂ©nĂ©ficier l’humanitĂ© d’une maniĂšre ou d’une autre, genre don Ă  de bonnes Ɠuvres ? C’eut Ă©tĂ© plus malin et plus gĂ©nĂ©reux de leur part ! Nan parce que du coup ils passent des siĂšcles et des fortunes Ă  se dĂ©brouiller pour que personne ne mette jamais la main sur le magot ; si c’était vraiment leur objectif, pourquoi ont ils laissĂ© des indices ? Et pourquoi ne l’ont ils pas tout simplement balancĂ© au fond de l’ocĂ©an, s’ils voulaient vraiment que personne ne le trouve ? Sans compter que priver l’humanitĂ© de milliers d’objets d’art et de prĂ©cieuses reliques juste pour le plaisir, c’est d’une perversitĂ© sans nom. . Non, Ă  la place, Benjamin dit Ouaaah trop cool ! Moi aussi je veux devenir un chevalier protecteur du trĂ©sor ! » Pas de problĂšmes papy Gates le fait s’agenouiller, et au nom de sa famille, dĂ©positaire du secret du trĂ©sor des templiers, l’adoube chevalier Gates/Templier/Franc-maçon. DĂ©sormais, c’est Ă  Benjamin de protĂ©ger le trĂ©sor de la cupiditĂ© des hommes. Retrouvons donc notre hĂ©ros quelques annĂ©es plus tard oĂč, suite Ă  quelques malheurs de la vie et de la pubertĂ©, il est devenu Nicolas Cage, ce qui n’est quand mĂȘme pas de bol ça reste le cauchemar de quantitĂ© d’adolescents. Cependant, cela ne l’a pas empĂȘchĂ© de poursuivre la quĂȘte de la famille Gates trouver le trĂ©sor des templiers. Et pour cela, il s’est entourĂ© de toute une Ă©quipe payĂ©e aux frais de Ian, son excellent et richissime ami qui se fait le mĂ©cĂšne de ses recherches. Car oui, pour protĂ©ger le trĂ©sor d’éventuels pillards, Benjy s’est mis en tĂȘte de le rechercher pour mieux le protĂ©ger. Oui, mais s’il est si bien cachĂ© ne serait il pas plus simple de le laisser lĂ  oĂč il est et de ne pas partager les indices avec n’importe qui ? Non ? Bon, bon, je ne dis plus rien, soit. Bref, notre Ă©quipĂ©e se rend dans l’Arctique oĂč elle est Ă  la recherche d’un navire, le Charlotte , puisqu’aprĂšs avoir couchĂ© avec toutes les Charlotte d’AmĂ©rique, fussent elles serveuses de drive-in, mĂ©decins ou labradors, Benjamin s’est dit que c’était peut-ĂȘtre le nom d’un bateau. Dixit Riley, le jeune scientifique/informaticien/gĂ©ologue de l’équipe, ce vieux navire aurait Ă©tĂ© pris par l’une des cĂ©lĂšbres tempĂȘtes Arctiques, qui capturent des bateaux oui, ce sont des tempĂȘtes pirates, on les reconnait facilement Ă  leur bandeau sur l’Ɠil avant de les ramener vers le Nord et de les enfermer sous douze tonnes de neige et de glace. HĂ© bĂ©, ça rigole pas. En tout cas, Ă©quipĂ©e des derniĂšres technologies, la petite poignĂ©e d’aventuriers du sire Gates finit par localiser l’épave qui se situe Ă  quelques mĂštres sous les chenilles des engins de la fiĂšre troupe. En quelques heures et coups de pelles, voici paraĂźtre la splendide Ă©pave d’un fameux voilier parfaitement conservĂ©, la Charlotte ; aussitĂŽt que cela est possible, l’ami Gates, Ian, Riley et quelques hommes se dĂ©cident Ă  pĂ©nĂ©trer dans ce splendide vestige du passĂ©. Que contient le bateau ? Rien, si ce n’est quelques squelettes de marins et quantitĂ© de barils de poudre Ă  canon pas du tout humide la neige et la glace sont deux choses connues pour ĂȘtre particuliĂšrement sĂšches, mais aucune trace du moindre trĂ©sor, ce qui semble beaucoup dĂ©cevoir tout le monde sauf Benjy. Et pourtant, en fouillant un baril de poudre encore tenu par les restes du capitaine du navire l’équipage s’étant visiblement fait prendre au piĂšge de son propre bord, Benjamin trouve un vieux paquet contenant une fabuleuse pipe en Ă©cume de mer superbement sculptĂ©e en forme de petit chĂąteau fort le genre de pipe qui vous fait briller en sociĂ©tĂ©. Et sur le tuyau de celle-ci, il remarque au premier coup d’Ɠil un dĂ©tail celui-ci est beaucoup trop finement ouvragĂ© pour ĂȘtre honnĂȘte ! Ni une, ni deux, il s’entaille, fait couler son sang sur l’objet puis le roule comme un petit rouleau d’impression sur un papier et
 apparait en lettres de sang une Ă©nigme ! Il est trĂšs fort ce Monsieur Gates il dĂ©couvre un splendide objet, en quinze secondes il comprend qu’il faut le dĂ©gueulasser Ă  coups d’hĂ©moglobine pour s’en servir d’imprimerie portative. Quel esprit de dĂ©duction hors du commun. L’énigme cependant n’est pas facile, puisqu’elle parle de secret, de serment, de fer
 mais Benjamin est lĂ  encore dĂ©cidĂ©ment trop fort en faisant des associations d’idĂ©es dignes d’un trip sous LSD, il dĂ©termine le sens de l’énigme et sa solution le prochain indice est une carte situĂ©e au verso de la dĂ©claration d’indĂ©pendance de 1776. Ah, oui, comme ça, en 5 minutes au fond d’une cale d’un navire bloquĂ© dans l’Arctique ? DĂ©cidĂ©ment, c’est de plus en plus fort. Benjamin cherchant le shit qu'il planque dans la reliure de son exemplaire de "L'Histoire des Templiers pour les Nuls" Ian et Benjamin dissertent donc sur le sujet, car aussi improbable cette dĂ©duction peut-ĂȘtre, elle leur semble aussitĂŽt ĂȘtre la vĂ©ritĂ© il leur faudrait donc pouvoir consulter la dĂ©claration d’indĂ©pendance. Hmmm, comment faire
 On pourrait demander gentiment ? Non, les gens du musĂ©e vont Ă©videmment refuser. C’est vrai quoi, deux mecs dont un spĂ©cialiste de l’histoire et un mĂ©cĂšne avec assez de thunes pour financer le musĂ©e/corrompre les conservateurs et disposant en sus d’une pipe mystĂ©rieuse d’importance historique comprenant un message relatif Ă  la dĂ©claration d’indĂ©pendance n’ont aucune chance de pouvoir consulter le dit document rien que 5 minutes juste pour vĂ©rifier s’il n’y aurait pas un bond titanesque Ă  faire dans l’histoire, bond qui ferait une publicitĂ© incroyable au musĂ©e en question. Ils se disent donc que c’est impossible. Bravo les aventuriers traverser l’Arctique Ă  la rechercher d’un bateau lĂ©gendaire, oui, braver l’administration, non. En consĂ©quence de quoi, Ian rĂ©vĂšle son terrible secret par le passĂ©, il a organisĂ© quantitĂ© de cambriolages et actions illĂ©gales, aussi se propose t il de voler la dĂ©claration d’indĂ©pendance pour la consulter. C’est vrai qu’il est beaucoup plus simple d’organiser le cambriolage du siĂšcle que de demander gentiment arguments historiques et financiers Ă  l’appui. Benjamin refuse, car il est un patriote qui aime son pays et son patrimoine ; Ian lui rĂ©pond que si c’est ainsi, il n’a plus besoin de lui et s’en va donc lui mettre une balle dans la tĂȘte. Ah oui, il est fourbe, Ian, en fait ; que voulez-vous, il est jouĂ© par Sean Bean, l’interprĂšte de Boromir dans le Seigneur des Anneaux quand il n’est pas occupĂ© Ă  essayer de piquer l’anneau unique Ă  des hobbits, il tente de voler des trĂ©sors nationaux au peuple amĂ©ricain. Heureusement, aidĂ© d’une torche, Benjamin organise une diversion en mettant le feu Ă  la poudre Ă  canon rĂ©pandue au sol je vous disais qu’elle Ă©tait bien sĂšche ; mĂȘme au sol sur une couche de neige, elle brĂ»le Ă  la perfection ; Ian est obligĂ© de s’enfuir avec ses hommes, et seul Riley, le jeune scientifique, reste fidĂšle Ă  Benjamin. Ces deux derniers n’ayant pu s’enfuir, ils arrivent Ă  se cacher dans un recoin du bateau qui les protĂšge lorsque la sainte-barbe explose finalement rĂ©duisant le reste du navire en miettes. Ian et le reste de l’expĂ©dition s’enfuient donc Ă  bord de leurs vĂ©hicules, abandonnant les restes de la Charlotte ainsi que Benjamin et Riley qu’ils croient morts. C’est ignorer la rĂšgle cinĂ©matographique numĂ©ro 29 si ya pas de corps, ya pas de mort ». De retour au pays, Benjamin et son copain Riley vont voir le FBI pour les avertir que misĂ©ricorde, de vilains brigands s’apprĂȘtent Ă  voler la dĂ©claration d’indĂ©pendance ! Bien qu’ils puissent donner le nom de Ian ainsi que rajouter accessoirement, il a essayĂ© de nous tuer il y a quelques jours, il suffit juste d’envoyer une voiture chez lui et vous le trouverez en train de prĂ©parer son affaire entourĂ© de quantitĂ© de terroristes dont j’ai aussi les noms car il les avait engagĂ©s comme hommes de main sur mon expĂ©dition , ils ne le font pas car ils sont un peu cons. ConsĂ©quence de quoi, le FBI ne les croit pas et les met dehors. Ils font donc une deuxiĂšme tentative directement au musĂ©e visĂ© par les mĂ©chants, en demandant Ă  voir la conservatrice en chef, le professeur Abigail Chase qui est Ă©videmment une bombasse blonde. LĂ , ils tentent de la convaincre du risque encouru par la dĂ©claration en utilisant un argument simple Bon, on pense que la dĂ©claration d’indĂ©pendance est en danger et risque d’ĂȘtre volĂ©e. Par contre, si vous nous laissez la consulter, on pourra vous dire si elle l’est vraiment ou non . Ah, parce que ça va changer quelque chose de la consulter peut-ĂȘtre ? Et puis c’est d’un crĂ©dible Bonjour, je viens vous prĂ©venir que des gens vont voler la Joconde, mais si vous me laissez 30 secondes avec elle, je pourrai vous dire si c’est vrai ou pas . Étrangement, la scientifique refuse, puisqu’il semblerait que Benjamin Gates soit plus douĂ© pour rĂ©soudre les Ă©nigmes en quelques secondes que pour avoir un raisonnement cohĂ©rent dans la vie de tous les jours. On est passĂ© trĂšs prĂšs du Professeur, je crois que des mĂ©chants veulent vous violer ; mais si vous me laissez palper vos roploplos, je pourrai vous dire si c’est ou non du pipeau. ». Convaincre les gens sans expressions faciales, c'est assez ardu DĂ©pitĂ©, Benjy et Riley s’en vont donc rĂŽder dans le musĂ©e et observent la dĂ©claration au travers de sa vitre blindĂ©e d’exposition ; ils se permettent une petite sĂ©ance Ă  base de Ouah, c’est le plus beau et le plus important document de toute l’histoire de l’humanitĂ© » et Les Etats-Unis sont vraiment le plus grand pays du monde . Soudain, cependant, les choses dĂ©gĂ©nĂšrent lorsque Benjamin continue de sombrer dans l’incohĂ©rence la plus totale, puisque se souvenant que les signataires de la dĂ©claration d’indĂ©pendance avaient bravĂ© la loi pour faire ce qui leur semblait ĂȘtre juste, il se dit qu’il est de son devoir de voler le document pour l’étudier et le protĂ©ger. Un petit rĂ©sumĂ© peut-ĂȘtre ? Benjamin Gates veut dĂ©couvrir un trĂ©sor cachĂ© pour mieux le protĂ©ger. TrĂ©sor cachĂ© par des gens qui voulaient que personne ne le dĂ©couvre, mais qui ont quand mĂȘme laissĂ© des indices pour ce faire. Benjamin Ă©tant le seul Ă  avoir le dernier indice existant, on pourrait supposer qu’en le dĂ©truisant, le trĂ©sor serait vraiment bien protĂ©gĂ© dans sa cachette mais non, ce couillon insiste pour le rechercher, et ce en emmenant avec lui toute une bande de criminels, soit l’opposĂ© exact de ce qu’il est censĂ© faire. Bon, revenons Ă  cette histoire de trĂ©sor il veut le dĂ©couvrir, et pour ça, il a besoin de la dĂ©claration d’indĂ©pendance amĂ©ricaine, mais personne ne veut lui prĂȘter. Son pote criminel se propose de la voler pour lui. Il refuse. Et puis finalement, il se dit qu’il va la voler, mais sans son pote criminel. Et lĂ  encore, pour quel motif Pour la protĂ©ger ! . Autre solution, gros blaireau, aider Ă  dĂ©jouer le cambriolage puisque toi tu sais qu’il va avoir lieu, et ainsi prouver que tu avais raison depuis le dĂ©but, ce qui devrait te rendre particuliĂšrement crĂ©dible, et te permettre d’accĂ©der Ă  la constitution tout en la protĂ©geant vraiment. Mais non. C’est un principe que l’on retrouve dans quantitĂ© de films et de livres, comme par exemple, le trĂšs navrant Harry Potter, que des milliers de fans dĂ©fendent pourtant Harry, la pierre philosophale est incroyablement bien cachĂ©e et bien gardĂ©e ! Comment ? La voler avant que le mĂ©chant ne s’en empare ? C’est un plan gĂ©nial ! Je vous la refais. Que dis-tu Jean-Jacques ? Des gens vont braquer la banque super bien gardĂ©e vendredi Ă  13h ? J’ai une idĂ©e, braquons lĂ  d’abord comme ça ils n’auront plus rien Ă  voler et ils seront bien feintĂ©s ! . Quel plan trop malin. Bon, passons sur les toutes les Ɠuvres basĂ©es sur ce fabuleux concept qui ne tient pourtant pas plus de quatre secondes pour qui lit cette prĂ©cĂ©dente phrase Ă  haute voix, et revenons-en Ă  Benjamin Gates. Ce dernier a en effet prĂ©vu de prĂ©parer son cambriolage en utilisant tous les documents de la bibliothĂšque du CongrĂšs, puisque d’abord, on y trouve tous les plans et systĂšmes de sĂ©curitĂ© des musĂ©es amĂ©ricains accessibles au public ha ?, on peut y discuter pĂ©pĂšre ho ? et aucun lecteur ne s’inquiĂšte de vous entendre expliquer comment vous aller rĂ©aliser le cambriolage du siĂšcle hu ?. C’est drĂŽlement bien fait quand mĂȘme. Et ce qui est aussi drĂŽlement bien fait, c’est qu’un gala va se tenir prochainement au musĂ©e, et que la sĂ©curitĂ© sera tournĂ©e prioritairement vers les invitĂ©s et non vers les Ɠuvres. Une occasion unique pour agir ! Coup de bol supplĂ©mentaire, tous les cĂąbles informatiques et de sĂ©curitĂ© du musĂ©e sont accessibles depuis les sous-sols ouverts Ă  tous vents, et Riley le joyeux informaticien peut ainsi aller s’y connecter pour prendre le contrĂŽle des camĂ©ras de sĂ©curitĂ©. CamĂ©ras qui sont par ailleurs Ă©quipĂ©es de micros dĂ©cidĂ©ment qui en plus, suppriment les bruits parasites et ne conservent en haute dĂ©finition que les conversations intĂ©ressantes ! Vous n’entendez pas les deux techniciens juste en dessous de la camĂ©ra en train de parler du score de l’équipe de France, par contre vous avez l’intĂ©gralitĂ© de la conversation de la conservatrice Ă  l’autre bout de la salle en train de marmonner Halala, dire que la principale faille de sĂ©curitĂ© est blablabla et qu’il ne faudrait surtout pas que quelqu’un blablabla et blublublu . On se croirait dans un Ă©pisode des Experts un de ceux oĂč les camĂ©ras sont tellement modernes qu’en zoomant depuis l’une d’entre elles situĂ©e sur les quais de New-York, on peut observer les bigorneaux s’accoupler Ă  Brest. Billy le Bigorneau, arrĂȘtĂ© dans la saison 5 des Experts Manhattan pour viol de moule avec actes de barbarie En tout cas, pour pouvoir opĂ©rer plus facilement, Benjamin et Riley utilisent un discret laser pour rendre fou un dĂ©tecteur de chaleur dans la vitrine blindĂ©e de la dĂ©claration, afin que celle-ci soit renvoyĂ©e en salle de conservation pour ĂȘtre rĂ©parĂ©e et s’assurer que le document n’a rien. De son cĂŽtĂ©, Ian prĂ©pare lui aussi son cambriolage, sauf que lui prĂ©voit de le faire en utilisant plus de C4 et moins de bisous. Le soir du gala, Benjamin infiltre donc la soirĂ©e et arrive Ă  s’éclipser discrĂštement pour se rendre en salle de conservation ; lĂ , il vole la constitution juste sous le nez de son vieux copain Ian, et arrive Ă  s’enfuir. HĂ©las, Ă  peine a t il mis un pied dehors que le professeur Chase le poursuit en robe de soirĂ©e, car elle trouve son attitude Ă©trange et veut savoir ce qu’il mijote. C’est sans compter sur le commando de Ian qui, suite Ă  un fabuleux quiproquo ils pensent qu’elle est dans le coup et qu’elle a la dĂ©claration avec elle, la kidnappe ; il faudra une course poursuite en vans pourris entre les deux Ă©quipes de voleurs pour que finalement Abigail soit rĂ©cupĂ©rĂ©e et finisse Ă  l’arriĂšre du vĂ©hicule de Nicolas Cage, un vĂ©ritable cauchemar pour toute femme qui se respecte. Au musĂ©e, la police finit par arriver, puisque l’on s’est aperçu que la dĂ©claration avait Ă©tĂ© dĂ©robĂ©e, et que bon, c’était tout de mĂȘme bien embĂȘtant cette histoire. C’est donc l’agent Sadusky qui est mis sur le coup pour tenter de rĂ©soudre l’enquĂȘte ni une ni deux, il consulte les vidĂ©os de sĂ©curitĂ© et constate la prĂ©sence de Benjamin Gates Ă  la soirĂ©e alors qu’il n’était pas invitĂ©. Bon, par contre, lui quand il consulte les camĂ©ras, celles-ci ne comportent plus de micros. Ils ont dĂ» changer de modĂšle entre les deux. Benjamin doit lui se dĂ©brouiller pour rĂ©cupĂ©rer chez son pĂšre de vieilles lettres de Benjamin Franklin, car il a devinĂ© encore une fois en partant d’un bon gros shoot de coke qu’il en avait besoin pour dĂ©coder ce qu’il y avait au dos de la constitution. Il avait bien des copies numĂ©risĂ©es de ces lettres chez lui, mais bon, la police doit dĂ©jĂ  y ĂȘtre ; mieux vaut donc qu’il aille chez son pĂšre pour consulter les originaux. HĂ©las, ce dernier en a fait don rĂ©cemment au Franklin Institute. C’est embĂȘtant, mais Benjy dĂ©cide de mettre ce petit passage chez son pĂšre Ă  profit pour consulter le verso de la dĂ©claration
hmmm
 voyons voir
 tiens, la chaleur des respirations et des corps qui s’échauffent semble faire apparaĂźtre des sĂ©ries de chiffres ? Hmmm
 Allez, un coup de sĂšche-cheveux, et tout apparait, il n’y a plus qu’à noter ! En parlant de noter, depuis 2 siĂšcles, personne n’avait respirĂ© Ă  cĂŽtĂ© de la dĂ©claration ? Ce qui aurait ainsi provoquĂ© l’apparition des fameux chiffres et rĂ©vĂ©lĂ© la chose ? Et puis avant qu’elle ne finisse dans un musĂ©e, jamais elle ne fut exposĂ©e Ă  de la chaleur, mĂȘme bien naturelle ? Non ? Allez, on va dire que non. D’ailleurs, pourquoi ces andouilles de francs-templiers-maçons ont ils mis leur carte au dos de la dĂ©claration ? Pour ĂȘtre sĂ»rs que jamais elle ne soit perdue ! » selon Ben ; ils devaient ĂȘtre sacrĂ©ment bordĂ©liques quand mĂȘme pour en arriver lĂ . Sans compter que mettre un document ultra-secret au dos d’un document ultra-cĂ©lĂšbre
 Cela dit, c’est pas con. Je paume tout le temps mes listes de courses ; je crois que je vais les mettre au dos de la DĂ©claration des Droits de l’Homme. Fidel Castro lui-mĂȘme cachait ses discours au verso de la tapisserie de Bayeux Bon en attendant, maintenant qu’ils ont de mystĂ©rieuses sĂ©ries de chiffres, qu’en faire ? Et bien se rendre au Franklin Institute afin d’y consulter les fameuses lettres de Benjamin Franklin en utilisant les chiffres comme des repĂšres indiquant certaines lettres Ă  noter dans le texte et en rĂ©assemblant dans l’ordre le tout, un nouvel indice devrait apparaĂźtre ! Sauf qu’il est difficile de se pointer dans un musĂ©e lorsque l’on est recherchĂ© par le FBI
 aussi, nos hĂ©ros recrutent un petit Ă©colier Ă  la peau d’ébĂšne pour faire des allers retours dans le musĂ©e en lui indiquant ce qu’il doit trouver dans les lettres de l’ami Franklin ; le petit s’exĂ©cute, sauf que figurez vous que Ian, ce gros mĂ©chant, a lui aussi compris qu’il y avait besoin de ces fameuses lettres pour dĂ©coder le message ! Et en se rendant au musĂ©e, il repĂšre facilement le jeune enfant noir et donc forcĂ©ment suspect qui semble prendre des notes devant les vitrines des cĂ©lĂšbres Ă©crits. Comment ? » se dit il, Un afro-amĂ©ricain scolarisĂ© ? VoilĂ  qui est bien Ă©trange ! » ; il comprend aussitĂŽt que ce dernier doit ĂȘtre un agent de l’équipe Gates lui aussi il a de fabuleux pouvoirs de dĂ©duction pas du tout tĂ©lescopĂ©s et se dĂ©cide Ă  aller Ă  sa rencontre pour le corrompre Ă  coups de billets ou le menacer de l’expulser dans un champ de coton, je ne me souviens plus trĂšs bien ; que lui faisaient ils noter ? Le gamin explique, et propose mĂȘme de vendre Ă  Ian le tout dernier message qu’il avait notĂ©, qui constitue la toute fin de l’énigme. Les gentils n’en avaient pas besoin ils sont tellement forts qu’ils avaient dĂ©jĂ  devinĂ© le dernier mot de l’énigme et s’étaient barrĂ© en abandonnant le ch’tit noir. Ian se retrouve donc avec environ 1/60e de l’énigme Ă  la main, ce qui est avouons-le, peu. Cependant, ça ne l’empĂȘche de le guider vers Liberty Bell, Ă  l’Independance Hall, pile lĂ  oĂč effectivement le message complet guidait nos hĂ©ros. Comme quoi, pourquoi se faire chier Ă  avoir une Ă©nigme complĂšte quand un seul mot suffit ? En tout cas, l’énigme complĂšte est un poil plus prĂ©cise malgrĂ© tout, puisqu’elle indique le toit du fameux bĂątiment oĂč, en fouillant un peu, Benjamin trouve une brique marquĂ©e du sceau des franc-maçons ; en la retirant, il trouve Ă  l’intĂ©rieur une paire de lunettes 3D conçues par Benjamin Franklin pour regarder Avatar sans se soucier du scĂ©nario Benjamin Franklin adorait les effets spĂ©ciaux en tous genres, la foudre entre autres. Il est hĂ©las interrompu par l’arrivĂ©e de Ian et de ses hommes, et doit s’enfuir en laissant de cĂŽtĂ© la jolie Chase et le geek Riley. Mais finalement, l’aventure tourne mal Benjamin est arrĂȘtĂ© par le FBI qui avait repĂ©rĂ© sa voiture, et ses deux amis se font chiper la dĂ©claration d’indĂ©pendance par Ian et ses gorilles. RĂ©sumons Benjamin est prisonnier du FBI, mais il a les lunettes nĂ©cessaires Ă  la suite de l’histoire. Ian est libre et a la dĂ©claration d’indĂ©pendance mais pas les lunettes 3D. Aussi, un compromis est rapidement trouvĂ© par le terrible criminel il appelle le FBI et explique qu’il veut voir son copain Ben le lendemain matin sur l’Intrepid, un musĂ©e-porte-avion stationnĂ© Ă  New-York. Il prĂ©cise accessoirement que s’il voit un seul agent du FBI tourner autour du sire Gates, il se torchera avec la dĂ©claration d’indĂ©pendance non sans avoir mangĂ© deux chorizos entier en amont. Le saligaud. Le lendemain pourtant, tout le navire grouille tant de touristes obĂšses que d’agents spĂ©ciaux ; Ă©videmment, ils ont aussi eu l’idĂ©e gĂ©niale de mettre un micro Ă  Benjamin et de taper la causette avec, ce qui fait que notre hĂ©ros donne l’impression de causer tout seul, le genre de truc qui ne met pas du tout la puce Ă  l’oreille des mĂ©chants. Un coup Ă  se retrouver avec une dĂ©claration couverte de caca, ce n’est pas trĂšs raisonnable. Pourtant, les brigands arrivent tout de mĂȘme Ă  s’emparer de Benjy en lui proposant discrĂštement de sauter Ă  l’eau ; dĂšs lors, un groupe de plongeurs le rĂ©cupĂšre et via un petit vĂ©hicule sous-marin, l’emmĂšne loin de toute l’agitation fĂ©dĂ©rale. Ian dispose du top du top de la technologie fĂ©cale Une fois Ă  l’abri, Ian retrouve son bon ami et lui propose de lui rendre tant la dĂ©claration d’indĂ©pendance que la pipe en Ă©cume de mer c’était lui qui l’avait aussi, il trouvait ça dĂ©finitivement trop cool en Ă©change des fameuses lunettes 3D et de son aide pour trouver le trĂ©sor. Histoire de s’assurer la coopĂ©ration de notre bonhomme, Ian a fait kidnapper son pĂšre, Chase et Riley et menace de les transformer en boĂźtes Ă  trous pour tests de QI spĂ©cial militaire Voici des balles de diffĂ©rents calibres, il faut les mettre dans le trou correspondant. A toi de jouer mon petit. » si jamais notre hĂ©ros s’avisait de faire le malin. AidĂ©s du verso de la dĂ©claration oui parce que TOUT est au dos du mĂȘme document, ils sont vraiment formidablement prudents ces templiers et des lunettes multicolores, nos deux larrons ont vite fait de dĂ©couvrir le dernier indice il faut se rendre Ă  Trinity Church, Ă  l’angle de Broadway et de Wall Street et y trouver la tombe d’un franc-maçon cachant en rĂ©alitĂ© un passage secret menant sous l’église. On trouve dans ce passage quantitĂ©s de torches prĂȘtes Ă  l’emploi pour des templiers, ils Ă©taient bien hospitaliers – ha, l’humour d’historien !, ainsi qu’un vieil escalier de bois Ă  moitiĂ© vermoulu s’enfonçant dans les tĂ©nĂšbres d’un immense puits souterrain. Oui, tout est restĂ© secret malgrĂ© les hordes d’ouvriers nĂ©cessaires Ă  une telle construction allant et venant dans l’église, et qui en plus, pouvaient eux aussi parler du travail qu’ils avaient accompli. Ils Ă©taient sĂ»rement trĂšs disciplinĂ©s. Tout au fond du puit, la fine Ă©quipe tombe donc nez-Ă -nez avec un cul-de-sac ; nom d’une pipe ! Le trĂ©sor ! Il n’est plus là
 Il y a simplement une vieille lanterne accrochĂ©e au plafond. Ian sent que Benjamin bluffe lorsqu’il dit que le trĂ©sor a disparu ; il menace donc de remonter sans les gentils via un petit ascenseur Ă  poulies, seul moyen de se mouvoir verticalement depuis que l’escalier s’est effondrĂ© Ă  cause du temps oui, les francs-maçons avaient aussi prĂ©vu ça et fait installer de petits ascenseurs si ces derniers n’avouent pas la vĂ©ritĂ©. Et ça marche ils disent qu’en fait la salle comporte un indice la lanterne, qui fait rĂ©fĂ©rence Ă  un cĂ©lĂšbre passage de la guerre d’indĂ©pendance dans la ville de Boston. Les mĂ©chants se contentent donc de dire Merci ! » avant de se barrer en abandonnant nos bons amis au fond de leur trou. Crotte de bique, faits comme des rats ! Ils meurent donc tous de faim et de soif, non sans avoir profitĂ© d’ĂȘtre trois mĂąles en rut autour d’une historienne blonde et sans dĂ©fense en sachant que personne ne les retrouverait jamais. Trois hommes, une femme, des torches et un cul-de-sac, tellement de possibilitĂ©s 
 Vous ĂȘtes encore lĂ  ? Bon, d’accord, ce n’est pas vrai ; quelqu’un a voulu que ça se passe autrement et que Benjamin Gates explore d’autres cavitĂ©s que celles du professeur Abigail Chase en fait, les gentils ont bluffĂ© il n’y a rien Ă  Boston, c’était pour se dĂ©barrasser de Ian et le faire partir. Le cul-de-sac n’en est pas un, il y a en fait sur l’un des murs un Ă©nooooooooooorme signe franc-maçon qu’aucun vilain n’avait remarquĂ© couplĂ© Ă  un tiiiiiiiiitanesque bouton lĂ  aussi qui avait Ă©chappĂ© Ă  toute investigation des vils brigands dans lequel est dĂ©coupĂ© la forme de la pipe en Ă©cume de mer, que Ian leur a connement laissĂ© en emboĂźtant tout ça, la paroi bascule et mĂšne Ă  une nouvelle salle de plusieurs centaines de mĂštres carrĂ©s contenant
 
 le trĂ©sor des templiers ! Statues Ă©gyptiennes en or, sarcophages prĂ©cieux, Ă©tendards immĂ©moriaux, parchemins de la bibliothĂšque d’Alexandrie
 tout y est. Y compris une sortie de secours, qui ramĂšne dans l’église oui, car non contents d’avoir prĂ©vu des tonnes de choses, les franc-maçons avaient aussi prĂ©vu que leur premier escalier s’effondrerait, que les ascenseurs Ă  poulies seraient inaccessibles et qu’il faudrait un troisiĂšme moyen de sortir, fabuleux. Une fois Ă  l’air libre, Benjamin appelle donc l’agent Sadusky pour lui signaler sa dĂ©couverte ; ce dernier rapplique Ă  toute allure, et arbore fiĂšrement une monstrueuse bague ornĂ©e d’un sceau franc-maçon c’est marrant, je les croyais plus discrets. Il fait comprendre Ă  Benjy qu’il connaissait dĂ©jĂ  la lĂ©gende du trĂ©sor, et qu’il travaillait Ă  le protĂ©ger. Il fĂ©licite donc notre aventurier de sa fabuleuse dĂ©couverte Heu
 non. Non, les francs-maçons voulaient le cacher, pas le dĂ©couvrir. C’est mĂȘme sur ce principe que tout le film tourne, non ? Alors pourquoi tu
 ha, zut, j’avais dit que je me tairais. Cependant, Benjamin n’en a pas moins volĂ© la dĂ©claration d’indĂ©pendance, et doit donc aller en prison. SĂ»r ? Évidemment que non il propose simplement Ă  Sadusky d’arrĂȘter Ian Ă  sa place, en lui indiquant l’endroit oĂč il se rend Ă  Boston, et oĂč il n’y a plus qu’à tendre une embuscade, chose qui marche Ă  merveille. Mais on ne fait pas de procĂšs aux Etats-Unis ? Vous savez, ces passages rigolos dans un tribunal durant lequel les gens expliquent que D’accord, Ian est un gros con, mais un gros con riche qui a de quoi se payer un avocat avec suffisamment de QI pour rappeler que le vrai voleur, c’est Benjamin Gates, et qu’il y a mĂȘme des vidĂ©os qui le prouvent, alors bon, autant son client peut se prendre une grosse amende pour avoir pĂ©nĂ©trĂ© par effraction dans un musĂ©e, autant il n’a rien volĂ©, lui, au moins. . Et bien apparemment non. Puisque Benjamin est dĂ©sormais riche et cĂ©lĂšbre, tout comme son pote Riley. On les dĂ©couvre d’ailleurs tous deux en train de discuter du fait que Ben a Ă©tĂ© trop con, puisqu’il a refusĂ© d’ĂȘtre dĂ©dommagĂ© Ă  hauteur de 10% de la valeur du trĂ©sor C’était trop . TrĂ©sor qui a Ă©tĂ© dispersĂ© entre diffĂ©rents musĂ©es mondiaux. Notre Gates national explique que cependant, il a quand mĂȘme eu en compensation une meuf, c’est-Ă -dire le professeur Chase qui est follement amoureuse et qui glousse comme une dinde quand elle entend dire qu’elle est un lot de consolation. Ca la rend follement heureuse. Tant et si bien qu’une fois Riley parti, elle donne une carte Ă  Benjamin. Une carte qui mĂšne Ă  quoi ? Hihihihi » rĂ©pond t-elle en se mettant Ă  courir avec un air semi-lubrique mais surtout idiot vers sa chambre. Et donc
 FIN Le mot de la fin revient Ă  grand-pĂšre Gates "Souviens toi de la toupie javanaise !" Oui alors en fait, je comprends mieux la passion de nos ancĂȘtres pour le bĂ»cher maintenant. Merci Benjamin Gates, tu m’as ouvert les yeux.

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